Chapitre premier Tantugou sortait des geôles de son palais le plus luxieux, lorsqu'une étrange lumière l'éblouit. Une première fois déjà à l'interstellbar il avait vu cette lumière. Mais cette fois ci il n'entendit rien.
Alors qu'il recouvrait la vue, Tantugou ne reconnu pas ses appartements. Il ne se trouvait pas dans son palais, mais dans une immense plaine verdoyante. Elle s'étendait au dela de la perception, et rien n'était commun. L'herbe était grasse et verte alors que des oiseaux aux merveilleuses couleurs vollaient au dessus de lui. Un encore plus beau que les autres vint se poser sur son épaule. En temps normale, Tantugou eu prit beaucoup de plaisir à voire mourrir l'animal dans des cris déchirants. Mais cet oiseau n'était normal, son regard était rempli d'une douce châleur et d'une vive intelligence.
L'oiseau s'envola, et invita Tantugou à le suivre par des petits cris aigus. Tantugou ne savait que faire, mais Hélium, comme il avait décidé d'appeler l'oiseau, lui inspirait confiance et il décida de le suivre.
Alors la marche de Tantugou commença, et c'est ainsi que pendant 40 jours et 40 nuits il traverça la plaine au prix de nombreux efforts. Mais chaque fois qu'il avait faim, Hélium lui apportait des fruits, chaque fois qu'il avait soif, Hélium lui indiquait une source ou une rivière.
Enfin il arriva au bord d'un océan, l'oiseau vint se poser sur le sable fin de la plage et se métaphorsa en oeuf. L'oeuf était de grande taille, et Tantugou se demandait ce qu'il convenait de faire, depuis le début Hélium l'avait guidé mais aujourd'hui il ne répondait plus.
Alors qu'il s'approchait de l'oeuf, Tantugou entendit les aboyements d'un animal. Il se retourna et put dicerner deux silhouettes. En se rapprochant il distingua un chien au pelage blanc émettant un rayonnement comme Hélium, et à son côté un poridien de grande taille. La sociabilité n'avait jamais été le point fort de Tantugou, mais il se sentait euphorique sans même qu'il n'eu su pourquoi. Il s'avança ainsi en faisant signe de la main à l'inconnu. Mais alors qu'ils ne se trouvaient plus qu'à quelques dizaines de pas, les deux poridiens se reconnurent...