Le Comte Guillaume Frédérico Antonio di Moncoria

Le comte marchait d'un pas rapide. Voilà quelques heures que les vaisseaux avaient été remis en marche.

Gyfarno (Le comte) : "Je sent que ces vaisseaux vont être bénéfiques"

En effet ils allaient l'être. Quelques heures plus tard une planète avait été colonisé avec succés et une proposition d'alliance de la part de la Starconquest avait été faite. Refuser bien sur. Le comte avait pris le pouvoir quelques jours plus tôt. Le tyran qui dirigeait la planète étant mort la population était en folie.

Gyfarno : "Nous voici, mon peuple, entré dans l'age d'or. Esperons ne plus en sortir et avancons dans celui-ci. Peut être deviendrais-je un empereur. Qui sait cela ?"

Mais d'autres en avaient voulu autrement. La Starconquest était arrivé sur secteur et ordonnait à la population de se déplacé. Bien sur un secteur vide de toutes vie avait été trouvé mais quelques heures aprés la colonisation de celle-ci quelqu'un d'autre arriva. Gyfarno était dépité. Où que son peuple aille il y aura toujours quelqu'un.

Gyfarno : "Mettez moi en contact avec la Starconquest... nous acceptons leur offre."

23 h 02 : Zoltis fumait un cigare dans son fauteuil rambouré quand un avertissement sonore le tira de ses sombres pensées. L'holo-récepteur s'alluma, illuminant la pièce auparavant plongée dans le noir.

Citation :

Général Zoltis,

Le peuple n'a pas son calme... je me doit d'accepté votre proposition d'alliance.

Je ne souhaite que la paix mais un peu de combat ne me ferait aucun mal sachez-le.

Gyfarno Moncor

Gyfarno, gyfarno...qui est-ce....


Ah! Oui! le conte Gyfarno, l'homme qui m'avait séduit par sa première missive mais que les suivantes m'avait rebutées. Voyons...oiui, il occupait le système qu'un de nos membre était en train de coloniser. Je me souviens lui avoir proposé mon aide pour déménager efficassement et rapidement. Je m'étais dit qu'en homme sensé, il accepterait. Mais par deux fois, il a refusé, adoptant un ton suffisant.

J'ai du cacher ces lettres à Kara, elle en aurait encore massacré un...
Jekar le trouvait bien, lui aussi mais il a changé d'avis à la lecture des missives suivantes.


Zoltis relut le message du conte Gyfarno.


Il semble accepter ma demande d'alliance de fort mauvais coeur. Je ne veux pas d'un homme qui traîne les pieds et sur lequel je ne peux compter. Sa vie serrait mise en danger avec nous...


Agilement, Zoltis rédigea un court message au Conte.