Tel est prit qui croyait prendre.

Depuis le désastre du cataclysme dans le 291, Shirai ne sortait plus de son bureau. Même la présence de Léna ne parvenait pas à remonter son moral. Parfois, il était saisi de crise d’angoisse. Alors, le grand leader pleurait toutes les larmes de son corps. Puis, le désespoir laissant la place à la rage, il envoyait toutes les fournitures de son bureau se briser contre les murs en criant :


« Hober ! Pourquoi m’as tu fais cela ? Pourquoi ! Je t’ai bien servit pourtant ! Hober ! Bon Dieu, pourquoi !!! Je te hais plus que tout, plus, même, que Val Von Krieg ! »


Puis il repartait dans une crise de larmes aiguë. Car au fond de lui, il ne le pensait pas. Hober restait le modèle qu’il avait toujours été depuis qu’il lui avait demandé de faire partie de la Ligue des Mondes Non-Alignés.


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La situation dans le 291 n’était pourtant pas totalement désespérée. La Confrérie avait repris les choses en main. L’Etat-Major de Shirai également. Ils avaient tout deux levé les fonds nécessaires à la construction de deux centres de loisir, bâtis sur les deux planètes glacières du système. Peu à peu, le système 291 se redressait. Peu à peu, les recettes compensaient les pertes. Les pirates avaient également été expulsés. Non sans peine. Un vaisseau avait été abattu. Un vaisseau à Hober.


Le générale Elmo restait cependant soucieux. Outre l’état préoccupant de son chef et amis le commandant Shirai, il sentait que la Confrérie prenait de plus en plus de décision, et ce sans le consulter. Pour le moment, rien de gênant. Elle ne faisait que gérer l’impôt et de temps à autre ordonner une attaque de planète insoumise à l’équipage d’Eclair vif. Mais si ces phénomènes avaient été occasionnels au début, ils devenaient de plus en plus fréquents.


Devrais-je en avertir Shirai ? Est-il capable de mesurer la gravité de la situation ? Et prendre une décision raisonnable ?


Rongé par ses soucis, le général Elmo délaissait lui aussi peu à peu le commandement des armées. Pour le peuple, la faction shirienne se portait bien mais en vérité, elle était rongée de l’intérieur.


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Un jour pourtant, un événement fit changer la donne. Sur les écrans radar, un point se mit à clignoter dans un système proche. On y décelait de l’activité. Comme le voulait la procédure, un vaisseau y fut envoyé. Lorsque l ‘équipage du Vif Eclair y descendit, il ne put en croire ses yeux. Hober Mallow les accueillit en personne. Bien sur, il n’était plus dans sa forme d’antan, le voyage intergalactique avait du fortement l’affaiblir, laissant, qui sait, des séquelles importantes et irréversibles. Mais il était vivant. Et de retour. Après un festin, proportionnel à la fortune d’Hober, l’équipage revint vers Dorilys, la capitale du 291 pour avertir l’Etat Major du retour de leur ancien chef et ami.


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Toc toc toc…

…


Toc toc toc…

…


Il ne répond pas. Puis-je le déranger ? C’est pourtant important. Allez courage, allons-y !


Le général Elmo poussa doucement la porte. Osa un regard dans l’entrebâillement. Le commandant était encore affalé sur son bureau, en larme au milieu de son capharnaüm.

Puisse sont retour le remettre d’aplomb.


« Commandant ? Commandant, une grande nouvelle vient de me parvenir ! »


«Burlurp ? »


« Hober Mallow est de retour Shirai ! L’ équipage du Vif Eclair l’a découvert au hasard d’une expédition dans un système proche ! »


Shirai releva la tête de son bureau. Une large tache rouge indiquant qu’il y était resté bien trop longtemps. Son visage était encore humide et un long filet de bave coulait de sa lèvre inférieure. Son regard était emprunt de stupeur.


« Hober… ? »


« Oui mon Commandant ! Hober Mallow ! De retour ! Mon commandant, il est temps de vous ressaisir, de vous acquitter votre dette ! »


Elmo savait par où prendre son chef. C’était la le meilleur moyen de le remettre d’aplomb, fut-ce momentanément.


Hober de retour, la fin de mes ennuis.


« Général, conduisez moi au centre de commandement. »


Shirai se leva, et suivis le général jusqu’au centre névralgique de la faction.



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« Passez moi Hober Mallow. En communication directe. Exécution ! »


« Impossible mon commandant, il ne possède pas les technologies nécessaires ! »


« Bonne blague ! Dépêchez vous, je n’aime pas que l’on me fasse perdre mon temps ! »


Je ne l’ai déjà que trop fait. Hober, bientôt nous serrons quitte.


Le général Elmo prit alors la parole.


« Mon commandant, Hober Mallow est revenu, certes mais il a perdu son Etat Major, ainsi que son personnel scientifique et ses sujets. Il doit tout recommencer à zéro. Le chef d’équipage Hakkart revient de sa mission. Il a passez pas mal de temps avec Hober Mallow dans son nouveau Q.G. Peut-être pourra-t-il vous en apprendre plus. »


« Bien convoquez le. »


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En attendant que le chef Hakkart arrive, Shirai en profita pour faire un brin de toilette. Cela faisait maintenant deux semaines qu’il ne s’était plus ni lavé ni changé.


Pas étonnant que Léna ne veuille plus me voir.



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« Chef d’équipage Hakkart, au rapport ! »


« Chef, racontez moi votre entretient avec Hober Mallow ! »


Shirai en appris beaucoup sur les projets de l’ex-dirigeant de la LMNA. Notamment qu’il ne possédait plus le moindre crédit, qu’il n’avait plus de flotte ni de planète. Celui qui jadis dirigeait plusieurs dizaines de planète devait à présent se contenter d’une seule. Mais son vieux rêve ne le quittait pas. Il voulait remettre la LMNA sur pied. Lorsqu’il en aurait les moyens.


Je voudrais bien l’aider mais je suis à la Confrérie maintenant. Je ne peux les trahir.


Hober devra se débrouiller seul.


Je payerai ma dette en empêchant la Confrérie de l’agresser.


« Mon commandant, j’aimerais vous demander une faveur. »


Qu’est ce que ce type me veut ?


« Dites toujours chef. »


« En tant que représentant de l’équipage du Vif Eclair, je vous demande la permission de retourner servir sous les ordres de Hober Mallow. »


Et paf. En voilà une autre. Mon seul vaisseau de combat convenable.


Le général Elmo prit alors la parole :


« Mon commandant, si je puis me le permettre, ce ne serrait pas raisonnable. »


C’est qui le chef ici ? Tu crois pouvoir décider à ma place ? Tient, si je dit oui, est-ce que cela te ferra les pieds ? Ca te mettra dans l’embarras, hein ? Voyons comment un général s’en sort sans vaisseaux de combat.


« Bien chef. J’ai une dette envers Hober Mallow. Je l’acquitte en partie en lui remettant son équipage le plus fidèle. Votre tâche ne serra pas la plus facile. Seul contre tous. »


Comme nous dès maintenant.


« Bonne chance. Et remettez mes amitiés à Hober Mallow ! »


« Merci mon commandant ! Je n’y manquerai pas ! Vous pourrez toujours comptez sur nous ! »


Je n’en aurai plus besoin. Mon règne tire à sa fin.


Et Chef d’équipage se jetta au pied du leader, renouvelant les courbettes jusqu’à ce que celui-ci le releva et lui ordonna de se préparer au départ. Lorsque Hakkart fut partit, il congédia son Etat Major, pour jouer une partie d’échecs contre l’ordinateur central.


J’ai horreur de devoir me justifier.


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Mais comment fait-il ? Cela fait à peine 5 minutes que l’on joue et il m’a déjà prit mes deux tours, un fou, un cavalier et 4 pions. Ma reine est en sursis. Mon roi ne ferra plus de vieux os.


Soudain, l’écran s’éteint pour se rallumer quelques centièmes de secondes plus tard. Mais la partie d’échecs avait cédé la place à la carte du 291, clignotante. Une lumière rouge s’était allumée et une sonnerie retentissait, le volume augmentant proportionnellement avec le temps. Shirai prit l’interphone et rugit :


« L’ETAT MAJOR DANS LA SALLE DE CONTROLE NUMERO 1 !!! »


Shirai observait la carte, son mot dire. Lorsque tout son Etat major fut réuni, il arrêta la sonnerie d’une pression sur un bouton puis, d’un ton où perçait la col ère demanda :


« C’est quoi ce bordel ? »


Shirai avait repris ses esprits. Sa dépression était un lointain souvenir. Sans en être sur, il sentait qu’on essayait de l’entuber. Et ça le foutait en rogne.


« Le système 291 mon Commandant… »


« JE LE VOIS BIEN IMBECILE ! D’AUTRES BRILLANTS COMMENTAIRES ? »



Le général Elmo prit alors la parole. Les yeux fixés sur ses bottes militaires. Les colères de Shirai étaient rares mais terribles. Le Commandant était impulsif, Dieu seul savait quelles décisions il était capable de prendre lorsqu’il était en colère.


« J’avais mit le système 291 sous surveillance. Une surveillance intensive. J’avais peur que la Confrérie ne nous-y joue un mauvais tour. Elle prenait de nombreuses décisions sans nous avertir. De plus, elle donnait des ordres à nos équipages. J’avais peur qu’elle finisse par nous spolier du 291. Je l’ai donc fait surveiller. Mes craintes étaient fondées. L’ordinateur central nous avertit que la Confrérie vient de nous déposséder d’une planète. Qui sait si elle va s’arrêter là. La Confrérie est dangereuse. Je lui ai fait remarquer qu’elle n’avait pas demandé pour cette réquisition. Je n’ai pas eu de réponses. »


Ils essayent de me baiser ? Moi ? Et ils pensent que je vais me laisser faire ?


« Général Elmo. Vous êtes promu chef des armées. Branle-bas le combat ! L’univers tout entier se saura bientôt qu’on n’essaye pas impunément de me baiser !!! Dans une heure, la plus grande trahison que l’univers aie connu serra amorcée. Que la Confrérie ne s’en doute pas ! Je prend des contacts. »


Shirai se dirigea à grand pas vers la cellule de crise. De là, il pouvait diriger les trois principaux niveaux de pouvoir : la communication, l’armée et le civil.

La stratégie du Commandant était démoniaque, suivant de près les principes d’un grand penseur encore inconnu, Machiavel. Machiavel était le conseillé politique de Shirai. Un petit homme horrible, complexé et toujours vierge. Le point fondamental de sa philosophie était : trahit avant d’être trahit. Cela lui vaudrait d’ailleurs une exécution lorsque tout serra finit. Autant suivre ses principes jusqu’au bout.

Le plan était simple. La Confrérie tentait de s’approprier notre système ? Shirai allait donner ce dernier à la Fédération, son ennemi juré. Après, on verra.


Je ne suis pas devin.


Rapidement, il prit contact avec la Fédération. Mit au point les dernières conditions du transfert du système, les mit au courant des risques qu’ils encouraient. Puis, il quitta la Confrérie. Postula à la Fédération et leur fit le transfert de planète. Enfin, il se désengagea. A nouveau libre. Son seul maître.


Libre mais mort.


Qu'importe.


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« Mon Commandant. La transaction est terminée. Nous avons laissé quelques vaisseaux à la Confrérie. Notre budget vient de sombrer. Nos vaisseaux sont obsolètes. Etes vous sur d’avoir prit la bonne décision ? »


Quel est cet homme ? Il devrait être fier. La faction shirienne est pauvre, obsolète et en sursis. Mais le peuple mourra libre.


« GENERAL ELMO ! »


Un bruit de course dans le couloir. Il fallut 10 secondes au général pour être au garde-à-vous devant le Commandant. Shirai se leva. Pour la première fois depuis longtemps, la joie et la fierté se peignaient sur son visage.


« Général, le peuple poridien est un peuple fier. Il ne se laissera pas écraser par l’obsession. Il mourra plutôt que de se rendre. Mais il mourra libre et heureux. Nous devons nous attendre à des représailles. Cherchez des alliés et préparez les hommes. Prévenez le peuple. Organisez des festivités tant qu’il en est encore temps car bientôt, ils devront se battre. »


Le général avait les larmes aux yeux. Non que le discours soit phénoménal, le Commandant avait toujours été nul pour ce genre de chose, mais bien parce que la décision de Shirai était à ses yeux la plus courageuse…

«J’ai demandé à la luuuuneuuh, et le soleil ne le sait pas, j’ai… »


Booom.

…


Satané réveil. Quelle heure est-il ?


Huuum, déjà 6h00.


Shirai s’extirpa en douceur de son énorme lit à baldaquins. Pour une fois depuis longtemps, il avait bien dormi. Aux cotés de Léna. Il avait veillé tard hier soir mais devais se lever tôt aujourd’hui.


Vie de chien.


Au levé, pas de regrets, juste des remords.


Pauvre Haquarantes tout de même. Il avait tant investit.


D’un geste de la main, Shirai envoya ses remords valser.


Il n'avait qu’à pas essayer de m’entuber.


Le leader entra dans les salon et appuya sur un bouton doré, situé à gauche de la porte, commandant par ce geste son petit déjeuner. Dix minutes plus tard, un valet entrait dans le salon, un plateau à la main. Comme d’habitude, un œuf sur le plat, deux tartines et un grand verre de jus d’orange reposaient sur le plateau. Frugal. Mais cela suffisait pour le tenir en forme jusqu’à la pause de midi.

Le petit déjeuner terminé, Shirai se dirigea vers sa salle de bain. Après une bonne douche, il revêtit son uniforme. Réajusta ses médailles. Frotta la poussière qui avait eu le temps de se déposer sur le tissu durant la nuit puis marcha d’un pas ferme vers la salle de commandement.


« Quelles sont les nouvelles de la nuit, général ? »


« Bonne mon Commandant. Aucune nouvelle de la Confrérie. Par contre, nous avons été contactés par un faction très puissante. Voici sa proposition. »


Shirai prit la le papier que l'on lui tendait.


Lui ? Me proposer son aide ? Pourquoi pas après tout. Mais je dois d’abord m’assurer que mon peuple restera libre et n’aura pas de dette dont il ne pourrait s’acquitter.


Lorsque Shirai se fut assurer qu'il n'y avait pas de coups tordu, il appela Elmo:


« Général, tout n’est peut-être pas perdu. Contactez le. Dites lui que j’accepte sa proposition. »


En attendant, il me faut préparer un repli.


« Lofwyr ! Faites publier des avis. Nous avons besoin de colons. Il nous faut une base arrière, au cas ou. »


Quelques heures plus tard, des tracts étaient publiés dans la capitale.


« Poridiens, Poridiennes,

Vous le savez, la guerre est sur le point d’être déclenchée ! Nous avons besoin de vous sur tous les fronts pour défendre notre système ! Cependant, face à l’issue incertaine du conflit, nous auront besoin des plus courageux d’entre vous pour fonder une nouvelle colonie dans un système éloigné. Vous n’aurez pas de couverture militaire, vous n’aurez pas de ressources. Vous aurez votre courage et notre bénédiction.


Une sélection aura lieu cette après-midi aux quais d’embarquement, secteur 12.

Une prime de 1000 crédits est offerte à tout candidat sélectionné. Aucun impôt ne serra perçu dans le nouveau système. Un salaire vous y serra même versé.


Poridiens, nous comptons sur vous. »


Shirai,
Comandant des Armées, directeur du service de communication, président des affaires civiles.





Plus tard encore, de nombreux poridiens se bousculaient aux quais d’embarquement. Ceux qui réussirent tant le test physique et psychologique que le test de fertilité furent admis. Ils embarquèrent dans les plus beaux vaisseaux de l’ex-LMNA puis attendirent sagement le départ.

Le plus grand déplacement de population que la faction shirienne ait connu était sur le point de débuter…

Haquantarès avait été prévenu dès la trahison de Shirai connue.

Sombre imbécile ! s’écria-t-il.
Trop faible pour tenir un système face aux pirates, la Confrérie aurait du se méfier de cet incompétent mais l'ardeur qu'il mettait à vouloir le conserver était louable.

Il s'assit.

Le système fut vite maîtrisé et les pirates détruits, seulement 2 planètes restèrent sous tutelle de la Confrérie où le dénommé Shirai avait lui-même les pleins pouvoirs. Les autres, Shirai les contrôlait sans limites tout comme sa flotte.

Ridicule ... incapable de gérer l'économie de son peuple et il veut le voir libre ?

Haquantarès éclata de rire et donna des instructions à ses généraux.

Mise en route du plan ... Enfer et Damnation ...

Lofwyr tandis un papier à Shirai. Heureusement son vaisseau possédait un centre de communication.


Ses informations sont dépassées et ses moyens ridicules.


"Général! Offrez 25 000 000 à celui qui m'apporte la tête du leader de la confrerie"



Pas un homme n'oserait s'attaquer à la confrerie. Mais la proposition de Haquantares était tellement amusante que Shirai ne put s'empêcher d'y répondre.

La prime avait attire peu de monde ...

- Peut être devrions nous proposer plus Maître.

- Il ne vaut même pas cette somme. Ce qui compte, c est que tous sachent que nul ne peut agir envers la Confrérie impunément. Que vous soyez la Fédération, des pirates ou même un de nos membres, personne ne peut abuser la Confrérie.

Le plan Enfer et Damnation concernait les planètes du même nom. Le système x291g1 avait été protégé des pirates par la Confrérie, Shirai céda ce système a la Fédération dans sa trahison. Le but était simple, les pirates auraient pris ce système a Shirai donc il est logique que ce système leur revienne. C est ainsi que la Confrérie mena Enfer et Damnation a la révolte pour attirer les pirates, ceux-ci eurent vite fait de prendre le contrôle des autres planètes n en laissant plus qu’une à la Fédération.

Le système de résidence de Shirai était x967g1 et la flotte y menait l assaut, les planètes tombaient les une après les autres quand quelque chose d’étrange se produisit : tous les vaisseaux semblèrent disparus ou passés à l ennemi ...

La catastrophe qui toucha tous les vaisseaux de la galaxie marqua l’arrêt des combats.

- Sire, un message pour vous.

Haquantarès consulte le message et sourit.

- Bien, Shirai est mort. Versez à cet personne 100 000 000 crédits et ne divulguez pas son identité.

- Selon vos souhaits, Maître.

- Désormais la galaxie sait qu il ne faut pas tromper la Confrérie. Même nos membres ne se montrant pas à la hauteur subiront cette sentence car je les préfère attachés à la Confrérie par la terreur ou l ambition personnelle plutôt que par une hypothétique loyauté.

Haquantarès donna des instructions pour résoudre le problème de la disparition des vaisseaux.